MORT l This is the water, and this is the well. Drink full, and descend.

TUMBLR.

MORT BUCHANAN
fire walk with me

AGE › 37. DATE ET LIEU DE NAISSANCE › 10 novembre 1947 à blackwood, wisconsin. NATIONALITÉ › américaine. ÉTAT CIVIL › célibataire. OCCUPATION › co-gérant du supermarché. CERCLE(S) › comité des fêtes, parce que pourquoi pas. GROUPE › the athletes.

✩ Hello, stranger.

Passif, doux, content de son immobilité permanente, on pourrait dire que Mort qu'il a un côté plutôt pépère - et c'est ce qui lui a fait manquer tant d'occasions de s'ouvrir les portes d'une vie plus grande. Pourtant au premier abord et de loin tout le monde est persuadé que c'est un mec super cool stylé inabordable un peu trop hype pour qu'on soit digne de son attention. Qu'on se rassure tous l'impression part dès les trois premiers mots échangés - Mort est cool mais dans le sens sympa et chaleureux du terme. Quand il sort de son oisiveté c'est un grand détesteur d'ennui, prêt à inventer n'importe quelle activité farfelue pour sortir une situation de la monotonie - mais pour l'en sortir, ouais, il faut vraiment le mettre dans des circonstances particulières. Tout ce mélange contradictoire fait de lui un mec absolument charmant.
Peu importance l'occasion, c'est un type très curieux des gens, de ce qu'ils font, comment ils le font, pourquoi ils le font. Il ne reste pas co-gérant du supermarché malgré la mort et la découverte de la vérité sur son "père" uniquement parce que c'est confortable et que ça fait de la thune; c'est aussi parce que ça permet d'observer de rencontrer d'analyser les gens.
Il n'y a généralement aucune manière de le foutre en boule, mais depuis la grande revelation (à prononcer à l'espagnol parce que j'ai envie), les choses se sont un peu bousculées. Lui qui jamais n'aurait imaginé être père se trouve des envies d'enfants ne serait-ce que pour se venger en donnant à quelqu'un d'autre le vrai enracinement qu'il n'a pas eu, pour faire un gros doigts au mensonge, en quelque sorte. Mais tout ça bien sûr il ne le dira pas - donc on peut dire que depuis la grande revelation (encore à l'espagnol s'il vous plaît) il s'est un peu renfermé en lui-même, devenu assez contemplatif et taciturne.

✩ Meet me in Blackwood.

Depuis quand vivez-vous à Blackwood ? Si vous y vivez depuis toujours, avez-vous déjà quitté la ville ?

Je suis né ici, et je suis jamais parti d'ici. Je me suis toujours dit que je mourrais d'ailleurs ici sans faire de détours; ça va quoi mes origines sont écossaises c'est déjà assez exotique franchement. Bon mais voilà : j'ai pas envie de vous faire un vieux discours craignos de maintenant tu comprends Pamela plus rien ne sera comme avant, mais n'empêche que depuis que le "père" est officiellement insultable sans que ce soit interdit par la loi du sang j'ai envie de partir. Pas pour ne plus voir la ville qui a laissé le mensonge s'étaler sur des années non plutôt pour trouver mon vrai géniteur, le mec qui m'aurait peut être laissé partir jouer au basketball niveau professionnel, devenir le top du top et épouser Nastassja Kinski ou quelqu'un comme ça.

Que pensez-vous de votre vie ici ?

Je suis plutôt intégré dans la communauté, je vais pas mentir et faire le ténébreux. Je participe au comité des fêtes, je m'occupe du supermarché qui est quand même un centre dynamique de la ville genre je permets aux bonnes gens de Blackwood de manger et de survivre c'est pas rien ouais bon bref je suis bien au centre je fais mon boulot j'aime bien les gens, petit c'est à mon échelle (mentale en tout cas, j'ai conscience que je fais pratiquement deux mètres ma maladresse me le rappelle continuellement). En fait le principe d'une ville moyenne c'est qu'il y fait bon vivre tant que tu n'as pas de secret. Parce qu'à partir du moment où tu as un secret, qu'il éclate ou pas au grand jour, tu es à la merci des regards de tout le monde et tout devient lourd. Donc j'étais très heureux et insouciant, et je suis toujours un peu insouciant et heureux, mais tout est devenu lourd - d'autant plus lourd que ce secret existait depuis le début et que moi je me baladais léger comme un connard depuis tout ce temps et que probablement tout le monde devait voir la lourdeur de l'extérieur.

Quelle est votre place dans la communauté de Blackwood ?

Génial quelqu'un aurait pu m'interrompre pendant que je répondais à la question d'avant pour me dire que j'étais en train de répondre à la mauvaise question. Je vais le dire avec d'autres mots alors. Voilà : je pèse dans le game de Blackwood frère ! Dans le game modeste par contre. J'ai l'impression de faire partie des solides vétérans qui s'occupent d'une infime partie du mouvement de la ville. J'aime y participer. J'aime rencontrer les nouveaux, les intégrer. Ils ont jusqu'à présent et seront toujours peut être ma manière à moi de voyager hors les murs. Et les gens qui sont ici depuis toujours, que je connais donc depuis toujours, j'ai toujours eu une certaine tendresse pour eux, pour leurs défauts avec un recul me permettant de les trouver charmants, etc. Depuis que j'ai appris pour mon père, il y a un côté de moi, j'admets, qui devient léger parano. De type j'ai l'impression que tout le monde était au courant et se tapait des grosses barres/cancans derrière mon dos.

Quelle est ou quelle était votre réputation au lycée ?

La vie était plutôt douce au lycée ! Ne rentrons pas dans les clichés c'est pas parce que j'étais la star du basketball promis à des bourses pour des universités Ivy League grâce à mes dribbles que j'étais l'espèce d'écervelé salaud qu'on voit dans toutes les séries avec toujours sur le dos son chasuble un peu stylé aux couleurs de l'école. D'abord j'étais pas toujours avec mon chasuble un peu stylé aux couleurs de l'école, il était pas si stylé que ça et ça pue la transpiration ce genre d'outils c'est une incohérence physique ce qui se passe dans les séries, et ensuite en dehors des détails vestimentaire, même si j'étais plutôt populaire j'étais pas non plus du genre à jouer l'élitiste, m'asseoir à la table des VIP et laisser les pauvres gamins à lunettes-bagues seuls à la leur - j'étais pas non plus du genre association caritative petit père du peuple (pardon pour la référence mais l'expression en elle-même est jolie avouons le) qui a la mansuétude de parler aux nuls...J'étais au milieu de tout, dans le bel équilibre. J'avais plutôt le Mojo avec les filles, par contre j'étais nul pour gérer les relations donc ça débutait bien ça finissait en foirades de type loose même pas bourreau des coeurs juste distrait déconcentré oh non j'avais trop envie qu'on se voie ce soir et j'ai quand même oublié putain mais comment c'est possible. Ce genre là. Niveau scolaire, j'étais plutôt sélectif, super fort dans les matières que j'aimais bien sans faire trop d'efforts, à chier dans les matières que j'aimais pas sans faire trop d'efforts.

Croyez-vous en l'existence d'événements paranormaux ? Si oui, en avez-vous déjà fait l'expérience ?

J'y crois même si je ne saurais pas très bien définir la chose ou en parler à quelqu'un je crois. Il y a un truc sacré dans ce qui m'arrive depuis peu de temps. En gros, il y a quelques mois je sens derrière mon épaule qu'il y a quelqu'un qui me regarde. Je me retourne, je suis complètement tout seul. Donc je me suis ok je suis fatiguée, et puis ça arrive à nouveau. Et puis je commence à sentir des trucs sur cette présence. C'est un espèce de vieux barbu un peu à l'arrache qui se parle tout seul. Il apparaît derrière mon épaule de temps en temps, il a pas de présence physique, c'est plus au delà du corps et des mots. C'est pas un fantôme, c'est pas quelqu'un qui est mort, c'est vraiment juste une présence qui au fur et à mesure des choses me dévoile des trucs, au fur et à mesure comme par une sorte de télépathie cheloue j'apprends des éléments sur lui. J'en parle à personne. C'est pas que j'ai peur d'être taré, c'est que c'est sacré pour moi, c'est un truc tendre et bienveillant et vraiment ouais, sacré, transcendantal, j'ai envie de le garder comme mon trésor caché à moi. C'est niais dans les termes mais pas dans les faits ok.

Avez-vous un rêve ou un cauchemar récurrent ?

Je suis avec Joe et il me dit viens j'ai construit un pont de singe entre deux montagnes on va le traverser. Je dis bien sûr, évidemment, j'arrive tout de suite, je finis le tacos que je suis en train de manger (toujours un tacos) je m'essuie les mains sur une robe qui traîne (toujours une robe bleue, je crois que c'est un souvenir d'enfance d'une tante ou d'une cousine un truc comme ça) et je le suis. Il a construit un pont de singe vraiment sommaire et les deux montagnes sont très très hautes et tout en pics. Il avance avec une légèreté incroyable sur la traversé ce qui me donne une confiance absolue en lui et sa construction, alors je fais quelques pas sur le pont et la structure se met à trembler sérieusement. Là je me réveille.

Quel est le dernier rêve que vous avez fait ?

Ce même rêve, mais il y avait le vieux barbu derrière mon épaule qui me regardait quand je m'apprêtais à mettre le pied sur le pont, et ça me rassurait encore plus, mais je voyais bien dans les yeux de Joe qu'il ne le voyait pas ce qui me désarçonnait complètement et donc j'interrompait mon mouvement avant de poser le pied par terre de manière imprévue ce qui me faisait m'emmêler les pinceaux et je tombais, devant le pont, dans de la terre battue.

✩ Under a sky full of stars.

christmas card from a hooker in Minneapolis

Joe, espèce de merde, tu vas jamais recevoir cette lettre parce que je sais pas où l'envoyer du coup je vais me permettre de t'insulter autant que je veux et personne ne pourra rien me dire
Hier j'ai gagné un match super important au collège, il y avait des sélectionneurs de facs importantes, des gros bonhommes en costume avec cet espèce de glacis bizarre qu'ont les vêtements très chers, ils m'ont dit "on se revoit dans 3 ans jeune homme"
Est-ce que je te reverrai toi dans 3 ans jeune homme, quand je serai un élève star d'université d'Ivy League, que tout le monde voudra de moi dans son lit et que toi tu reviendra la queue entre les jambes comme un con avec probablement aucune femme et personne qui tiendra plus à toi parce que tu te sera grillé aussi dans le monde extérieur et que crois moi ça va pas faire fils prodigue quand tu reviendra nous non plus on tiendra plus à toi même le bout de tes chaussures je le regarderai pas on s'en foutra de toi tu n'existera pas
hier pendant un contrôle de maths où j'avais rien de mieux à faire j'ai eu un fou rire en imaginant que peut être en partant comme un connard tu t'étais imaginé que c'était pour te faire une vie meilleure et devenir un type important alors qu'à Blackwood comme ailleurs tu restes un loser c'est pas une question de réputation ou de lieu c'est inscrit dans ta chair qui est une chair de loser que tu as probablement hérité de papa, félicitations vous êtes le garçon de votre père espèce de raclure de chiottes.
je tenais à te dire que tu as fait une chose de bien dans ta vie : t'éloigner de moi assez vite pour m'épargner qu'à force de frotter ta carcasse de loser contre la mienne je devienne un loser aussi
je vais conquérir le monde et tu l'apprendra en lisant un torchon dans une caravane de merde du fin fond du trou de l'Ohio parce que tu ne sera jamais autre part que dans des fin fond du trou parce que c'est écrit dans ton code génétique, pauvre merde, et moi je serai à New York je t'enverrai un billet de 5 dollars du haut d'un building parce que je suis plein de mansuétude
bisous
Mort

you see this guy ? this guy's in love with you

C'est presque la fin du lycée et Mort est très amoureux de cette fille, Ollie (elle s'appelle Olivia mais refuse qu'on l'appelle comme ça), et pour une fois il passe pas sa vie à oublier qu'elle existe, à oublier qu'ils ont rendez vous, à lui dire "je...sonotone" quand elle lui dit qu'elle l'aime - en bref, il est amoureux d'une fille qui l'a fait sortir de son handicap amoureux. Les sélectionneurs qu'il a rencontrés il y a trois ans sont revenus au dernier match, ont officiellement fait leurs propositions de bourses. Il s'agit de Yale, Harvard et UCLA; pour résumer la situation, Mort passe ses journées à chantonner d'un air béat les mains dans les poches ou dans celles d'Ollie, le ciel est bleu, les oiseaux font l'amour, le soleil caresse la peau de tout le monde, Joe n'est toujours pas réapparu et tout le monde a fini par se dire que c'était tant mieux.
Mort, donc, rentre en sifflotant chez lui (en se disant que le reste de l'équipe aurait quand même pu faire l'effort de le ramener à la maison en le portant en triomphe et en se rappelant qu'à quelques rares exceptions le reste de l'équipe est dégoûtée de ne pas avoir obtenu de bourse) en formulant les différentes manières dont il pourrait l'annoncer à son père, comment faire encore plus ressortir dans les mots à quel point cette situation est stylée, à quel point il va devenir quelqu'un d'important, à quel point c'est plus très grave qu'il ne sache pas encore très bien vers quoi il veut tourner son ambition puisqu'on lui donne les moyens d'avoir le temps de trouver.
Pauvre petit Mort aurait pu tourner ça dans tous les sens ça n'aurait rien changé à ce qui s'apprêtait à lui tomber sur la tête.
"Ecoute, fils, ton frère est parti, c'était l'aîné, je compte sur toi pour reprendre l'entreprise familiale. Ce n'est pas soumis à discussion. Mon père gérait le supermarché, son père l'a fondé, alors maintenant tu prends tes responsabilités, tu deviens un adulte c'est-à-dire que tu renonces à des rêves idiots et tu deviens gérant et c'est tout. Tu es né à Blackwood, fils, tu n'as aucune chance de devenir quelque chose de grand de toute façon."
Une fois ces mots prononcés il y a quand même une forme de condamnation qui se met en place. En psychologie il y a un phénomène qui s'appelle le syndrome de Pygmalion. En résumé, si quelqu'un, particulièrement un parent, vous répète depuis ou dans votre enfance/adolescence que vous êtes si ou ça, il y a quand même beaucoup de chances pour que même si vous ne l'êtes pas spécialement voir pas du tout, vous le deveniez. Ca repose généralement sur des sentences de type "tu es maladroit" "tu es tête en l'air", etc. Ce jour là, puis les années à venir, entre Mort et son père, ça reposait sur " tu es né à Blackwood, tu n'as aucune chance de devenir quelque chose de grand". Je vous laisse légèrement ou lourdement imaginer le phénomène. Morty l'ado enthousiaste et énergique alla s'endormir dans une vie de gérant pépère dans une position pépère dans une ville de province, remplaçant l'ambition par l'oisiveté, oubliant la virulence d'une lettre qu'il avait un jour écrite à son frère. Quelques mois après la fin du lycée, il quitta Ollie sans vraiment le vouloir, comme pour l'épargner de manière inconsciente du fait qu'il était coincé là et que si elle restait, elle y serait coincée aussi.

duel

"Je déclare à qui voudra bien me lire avant ou après ma mort que Mort Buchanan n'est biologiquement pas mon fils. Il ne mérite pas le nom de Buchanan. Je ne sais pas non plus avec certitude s'il est le fils de sa mère. Elle est arrivée un beau jour à Blackwood avec un bébé dans les bras, on a bien joué la comédie, elle est morte, voilà. J'ai bien conscience que ce document n'a pas valeur de testament ou de déclaration officielle, il est pourtant absolument véridique, il suffira de demander confirmation au Docteur Gilmore, probablement à la retraite à l'heure actuelle mais toujours en vie, avec qui j'ai effectué des tests ADN pour avoir toujours la preuve de ce que j'avance. Si Mort Buchanan n'en reste pas moins gérant de mon supermarché jusqu'au retour de mon fils légitime Joseph Buchanan (qui prendra décision du destin de Mort dans l'entreprise), il n'héritera cependant rien de moi, comme stipulé dans mon testament officiel. Fait à Blackwood, le 5 septembre 1980.
William Buchanan"

filaments de chair déchirés dans le code génétique. y'a un truc qui brûle à l'intérieur. une magnifique escroquerie sans tendresse qui aura quand même duré 37 ans, il faut au moins lui donner ça, on lève son verre et ce devant aucun sourire. la tombe du "père", Will, devant laquelle on a pleuré un peu sur laquelle on va maintenant cracher. pour quoi faire, le mensonge, s'il n'y a aucune tendresse ? le charme d'un poteau électrique; l'envie de pisser sur une barrière électrifiée simplement pour le sentir vraiment, son code génétique. l'envie de fabriquer des enfants pour précisément ne jamais leur mentir, faire du donnant donnant avec le monde, un mec à qui on a menti pendant 37 ans contre 4 marmots à qui on dira toujours tout toute leur vie, même le père noël, même dieu, même comment on fait les bébés et jamais de tu comprendra quand tu sera plus grand. l'envie soudaine, et tout d'un coup peu importe le temps d'absence, que Joe soit là, pour avoir une épaule familiale contre laquelle se reposer, puis s'apercevoir que ce n'est même pas une épaule familiale et s'effondrer.
William Buchanan aurait usé de tendresse toute la vie de Mort, n'aurait pas cherché autant à le détruire, le rapetisser, il n'aurait pas déclaré sa non paternité de manière aussi froide et violente alors ce serait malgré tout rester la famille mais non: arrachée la famille, retirée, niée, "ne mérite pas le nom de Buchanan".
la mère morte qui ne peut plus délivrer aucune information, le docteur délabré possédant les tests officiels mais rien de plus, aucune piste, aucun terreau que Mort pourrait gratter s'en foutre plein la truffe s'exploser les griffes ouais peut être mais trouver, finalement trouver.
non rien : tout arraché. tout arraché et ne demeure que la possibilité de se relever avec l'énergie de déverrouiller l'énigme. trouver l'énergie de déverrouiller l'énigme, ne pas s'aplatir sous les arrachements, ne pas vivre comme si une épée était constamment mal suspendue au-dessus de sa tête. trouver l'énergie de déverrouiller l'énigme. la trouver, vraiment.

une seule chose reste interdite : aimer sans amour

✩ Falling masks.

PSEUDO/PRÉNOM › appo.
PRÉSENTATION PERSONNELLE › je m'appelle Appo, je suis sympa, j'ai un chaton qui risque de causer plusieurs coquilles dans mes rps, j'ai pas touché à un forum depuis des années, j'aime le théâtre, j'espère qu'Adam Driver ça va passer pour Dewey, j'ai tellement pas touché à un forum depuis des années que j'ai essayé de m'inscrire une première fois tout à l'heure et ça a chié. voilà, bonne journée  
FRÉQUENCE DE CONNEXION › aléatoire.
AVATAR › Adam Driver. j'ai pas vu Star Wars, j'ai pas vu Girls, mais j'ai vu Paterson. Je suis comme ça. Si c'est chaud pour le PV, j'ai pensé à Emile Hirsch aussi.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? › j'ai stalké Mariko à qui j'avais pas répondu depuis des mois parce que j'ai fait la chiure et j'ai disparu. SURPRISE.
MOT DE LA FIN › j'espère être un peu à la hauteur de la tâche.

Mort Buchanan a écrit:

par contre j'étais nul pour gérer les relations donc ça débutait bien ça finissait en foirades de type loose même pas bourreau des coeurs juste distrait déconcentré oh non j'avais trop envie qu'on se voie ce soir et j'ai quand même oublié putain mais comment c'est possible

Mort Buchanan a écrit:

Sasha > ouééééé trop cool merci ! et j'ai hâte de le jouer moi-même. merci beaucoup pour la validation
méoui elle fait quoi Mariko elle est où je suis tristesse

BIENVENUE AVEC ADAM DRIVER OMG j'ai aussi vu Patterson, j'ai plutôt bien aimé, c'était vraiment un beau film quand même ... genre ouai, et adam est excellent dedans, et golshifteh j'ai mourru beaucoup
sinon, appo c'est le diminutif d'apophis ? parce que je connaissais quelqu'un dont c'était le nom/pseudo j'ai jamais su

Mort Buchanan a écrit:

Marikoeur t'es un koeur

Golshifteh est la plus belle femme du monde.

Moi j'ai vu les deux amis et je me souviens NETTEMENT DE LA SCENE DE DANSE PUTAIN SA MERE GERDKFGN c'est quelque chose à pas louper tellement c'est beau