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 My life is a mess of shit (Boyd Desmond)

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Boyd Desmond
Boyd Desmond
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Crédit : Lux Aeterna + Gentleheart
My life is a mess of shit (Boyd Desmond) Giphy

Occupation : Shérif parachuté en sept. 1984, après le décès du patriarche Hewitt. Ex-officier de police à Detroit, sensible aux affaires de racisme et de drogue.
Réputation : Grâce à un travail sérieux, beaucoup de diplomatie et de gros efforts pour s’intégrer, le shérif commence à gagner le respect et la confiance des habitants. Boyd reste néanmoins un étranger de passage qui n’a aucun ami à Blackwood.

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MessageSujet: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyJeu 7 Déc - 22:05


Lux Aeterna

BOYD DESMOND
My life is a mess of shit

AGE › 34 ans, à peu près autant de poisse et de galère. DATE ET LIEU DE NAISSANCE › Je suis né le 4 juin 1950 dans un quartier sensible de Detroit, ville à forte tension raciale parmi les plus sanglantes des États-Unis. NATIONALITÉ › Américaine, même si ma mère se vantait d'origines anglaises (que je n'ai jamais vérifiées). ÉTAT CIVIL › Veuf. Ma bienaimée épouse Theresa, infirmière d'origine afro-américaine, est morte il y un an après une maladie foudroyante et cinq années de mariage. OCCUPATION › On vient de me parachuter Shérif de Blackwood après avoir salement merdé à Detroit, où j'étais officier de police. GROUPE › The Basket Cases. Je débarque tout juste à Blackwood et n'y connais personne. L'intégration s'annonce difficile, d'autant que cette petite ville paumée ne ressemble à rien de ce que j'ai  connu jusqu'à présent.

✩ Hello, stranger.

En règle générale, je me montre compréhensif, tolérant, calme et diplomate. Quand on a grandi dans un milieu pauvre, multiracial, baigné dans les trafics de drogue et les guerres de gangs, monsieur BeauJardin qui crève les pneus de la famille BelleBagnole parce que son chien a pissé sur les fleurs, ça fait plutôt sourire. Quant au jeune con qui déclenche une bagarre parce que sa copine vient de le larguer pour un autre (la poussée d'acné tardive, ça ne pardonne pas), ça lui passera quand son taux hormonal cessera de court-circuiter les deux neurones qui forment son cerveau (soyons optimistes).
Putain, j'ai enterré ma femme, ma vie est un désastre et j'ai épuisé mon capital de bévues. Alors les problèmes de bas étage, ils ne m'affectent plus et je les traite avec le sang-froid d'un maître Jedi.

Par contre, ma patience a des limites et certains sujets sont plus sensibles que d'autres. À  trop tirer sur la corde, je n'aiaucun scrupule à profiter de mon badge pour user d'intimidation et de  brutalité. Avis aux racistes, dealers et consommateurs de drogue : si je vous tombe dessus, ce ne sera pas joli à voir. Ces conneries m'ont pourri l'existence trop longtemps pour jouer au tendre.

À part ça, je suis plutôt droit dans mes bottes, franc et serviable. J'ai été élevé à la dure dans un milieu difficile, sans jamais tremper dans les magouilles ou autres activités illégales. Pourtant, les occasions n'ont jamais manqué. Cette attitude m'a valu d'être isolé et peu apprécié tout au long de ma jeunesse. Dans mon quartier, c'était la règle quand on refusait de choisir son camp (race, gang, couleur de cheveux ou autre absurdité communautariste). En tant qu'animal solitaire, j'ai reçu de belles raclées mais ces épreuves m'ont endurci. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Je n'y comprends rien à la philosophie, mais le type qui a dit ça savait de quoi il parlait. Et quelle jubilation, les rares fois où je sortais vainqueur d'une bagarre !
Ma position est simple : on peut être quelqu'un de bien et honnête sans verser dans le moralisme à la con. D'ailleurs je n'ai jamais voulu être mêlé aux religions, partis politiques, syndicats et causes perdues. S'enfermer dans un clan pour s'opposer à d'autres qui n'ont pas la même vision du monde que nous, non merci. À défaut de nous aimer les uns les autres (faut être réaliste), respectons-nous et n'emmerdons pas nos voisins. Chaque être humain a sa propre histoire et ses propres rêves, je ne suis pas là pour les juger.

Attention, cliché : je suis l'archétype du sportif faiblement instruit. J'ai toujours été un cancre à l'école ; même tout petit j'étais le sale gosse qui crachait des boulettes en papier mâché à travers le tube de son stylo (par contre, j'ai jamais été fan des boules puantes, faut pas abuser). À Detroit, j'avais d'ailleurs intégré l'équipe de boxe de la police. À des années-lumière des grosses frappes shootées aux stéroïdes, mais plutôt équilibré et j'encaissais bien. En outre, cette activité me permettait d'évacuer le stress et la rage que tous les flics portent en eux.
Sinon, j'ai quand même réussi les examens pour devenir officier de police, preuve que mon cerveau n'est pas aussi mou que celui d'un poulpe. Mais pour être franc, sans la personne merveilleuse qui allait devenir ma femme, je me serais sans doute méchamment planté. L'amour a la capacité de révéler le meilleur de nous-mêmes. Pour le coup, c'est moi qui le dis. Je sais, on trouve ça dans un tas de bouquins et même dans les papiers à bonbon. Mais quand on le vit réellement, la phrase parait tout de suite moins banale.

Lorsque ma femme est morte, j'ai remplacé toutes activités, sportives et autres, par une dégustation compulsive de boissons alcoolisées. Ou comment devenir une véritable épave en quelques mois. Depuis mon arrivée à Blackwood, j'essaie de me remettre en forme avec au minimum un footing matinal. En plus, courir permet de me familiariser avec les lieux et la population. Même sans engager la conversation avec les matinaux du coin, un bonjour en passant et l'image d'un jeune shérif dynamique ne peuvent pas faire de mal. Je possède également quelques haltères et une corde à sauter pour les jours de mauvais temps (c'est-à-dire souvent : météo pourrie). Sans oublier le plus important : un gros sac de frappe suspendu dans mon garage, sur lequel il m'arrive de me défouler après une journée de merde. Ou quand mes adjointes me tapent (trop) sur le système. D'ailleurs, à bien y réfléchir, les deux vont souvent de paire.


✩ Meet me in Blackwood.

Depuis quand vivez-vous à Blackwood ? Si vous y vivez depuis toujours, avez-vous déjà quitté la ville ?
Je viens d'arriver à Blackwood après avoir passé toute ma vie à Detroit. Paumé dans cette petite ville paumée, j'en suis encore à mémoriser le nom des rues et des habitants.
Que pensez-vous de votre vie ici ?
J'ai atterri ici par obligation, après une bavure à Detroit. Au début, naïf et pétri de bonnes intentions, je me suis dit que ce serait l'occasion de prendre un nouveau départ après le décès de ma femme et une année noire. J'ai vite déchanté avec les deux harpies qui me servent d'adjointes. Elles ne peuvent pas m'encadrer et défient constamment mon autorité.
L'intégration est également plus difficile que je ne l'imaginais, mais je compte poursuivre mes efforts et laisser agir le temps. Mon seul rayon de soleil est cette gentille serveuse du Road Inn, avec qui je peux boire tranquillement sans recevoir des critiques ou des sous-entendus blessants.
Malgré ce climat difficile voire hostile, je dois reconnaître que Blackwood est une ville très reposante par rapport aux tensions extrêmes de Detroit. Et puis ici, je ne vois plus ma femme à chaque coin de rue… peut-être que j'avais vraiment besoin de ce changement radical pour me rétablir. Au moins je reste sobre. Vider quelques verres de temps à autre n'a jamais tué personne.
Quelle est votre place dans la communauté de Blackwood ?
Je suis le shérif. Avec le badge, mais sans le respect que tout le monde devrait lui témoigner. Je n'en veux à personne, mon affectation a brisé une longue lignée de shérifs respectés dont la fille est aujourd'hui ma première adjointe. Le genre de coup fourré qui se produit une fois par siècle, et il fallait que ça tombe sur moi. Encore cette foutue poisse qui me colle aux basques comme la chiure d'un clébard.
Leur tiédeur et leur ressentiment sont compréhensibles, mais aucun de nous n'a souhaité cette situation incongrue et il va falloir faire avec. Pour l'heure, je m'efforce donc de jouer mon rôle avec tact et diplomatie. Les choses se tasseront peut-être avec le temps. Ou des problèmes plus graves nous forceront à collaborer sans nous tirer dans les pattes.
Quelle est ou quelle était votre réputation au lycée ?
Le looser solitaire, trop pauvre et stupide pour avoir un avenir dans la légalité, et trop honnête pour vivre dans l'illégalité comme beaucoup de mes camarades de classe. Les filles ne me regardaient même pas, d'autant que j'étais plutôt maigrichon à l'époque.
Croyez-vous en l'existence d'événements paranormaux ? Si oui, en avez-vous déjà fait l'expérience ?
Il y a un an, je cataloguais tous ces phénomènes dans la catégorie "suprêmes conneries". Ma perspective a radicalement changé après le décès de ma femme, notamment lors d'une séance de magie vaudou qui visait à établir le contact avec elle. Je ne suis pas certain de ce que j'ai vu ou entendu, mais l'expérience fut vraiment troublante. On peut donc me considérer comme "ouvert" sur ces choses-là.
Enfin, pas toutes. Je continue de penser que les chasseurs d'OVNIS et amateurs de complots sont des mythomanes ou dérangés du citron.
Avez-vous un rêve ou un cauchemar récurrent ?
Les détails du cauchemar changent toujours, mais je rêve souvent de ma femme qui meurt à l'hôpital, suppliant mon aide, et de mon incapacité à la sauver. En général, cela me rend bougon pour le reste de la journée.
Quel est le dernier rêve que vous avez fait ?
Mes adjointes périssaient dans l'incendie du poste de police. J'ai un peu honte de l'avouer, mais ça m'a rendu guilleret pour le reste de la journée.

✩ Under a sky full of stars.

4 juin 1950
Certains naissent sous une bonne étoile, d'autres avec une poisse marquée dans leur chair comme du bétail. L'année de ma naissance coïncide avec le déclin de Detroit, les populations blanches commencent à quitter la ville tandis que des populations noires du Sud viennent s'y installer.
Mon père, homme honnête mais raciste, perd son emploi deux ans plus tard et accuse ces hommes de couleur payés moins chers. Il n'obtiendra plus que des petits boulots mal payés.
Adieu les projets de famille nombreuse, je resterai fils unique. Ma mère ne s'en est jamais plainte, elle qui désirait tant avoir une fille.

23 juillet 1967
Des émeutes éclatent en ville, les plus sanglantes et les plus destructrices de l'histoire des États-Unis. Bilan : 43 morts, 467 blessés et plus de 2000 bâtiments détruits.
Ce jour-là, avec ma poisse habituelle, je me retrouve au mauvais endroit au mauvais moment et je passe à deux doigts de la faucheuse, poursuivi par un gang. Ce qui me sauve : un "copain" du lycée qui balance à ses frères de clan : « Laisse tomber, ce gars est un nullard. » Pour une fois, je ne relève pas l'insulte et file sans demander mon reste.
Monde de merde, mais je suis idéaliste sur les bords et je veux que ça change.

2 avril 1968
J'intègre les rangs de la police. Enfin, l'école de police dans un premier temps. Je suis un gars honnête, sans casier, je ne bois pas, ne fume pas. Et je suis motivé. Je passe tout juste les épreuves écrites et commence au bas de l'échelle.
Les premiers mois sont difficiles, je ne suis qu'un bleu qui ne connait rien à la vie. Mes idéaux battent en brèche quand je suis confronté au quotidien à toute l'étendue de la perversité humaine. Mais je lutte, je n'ai rien d'autre à quoi m'accrocher. Je pousse de la fonte et rejoins l'équipe de boxe pour gagner le respect des autres. Et me rassurer. J'ai toujours la boule au ventre en intervenant dans les quartiers chauds.

8 février 1974
Je tue un homme pour la première fois. C'était lui ou Jack, un collègue, alors j'ai fait ce qu'il fallait. Du moins, on s'est tous accordés sur cette version, sans doute vraie. Peut-être que le type avait la trouille et n'aurait jamais tiré, on ne le saura jamais.
En tout cas, ceux qui disent que ça vous change à jamais ont raison. C'est impossible à expliquer, un peu comme un arrière-goût désagréable dans la bouche qui refuse de s'en aller. Je n'ose même pas imaginer ce que ressentent les vétérans du Vietnam qui traînent dans nos rues, les yeux hagards.

14 août 1978
J'épouse Theresa, infirmière afro-américaine que j'ai rencontrée après un entraînement de boxe. Un vilain crochet du droit m'avait pété l'arcade sourcilière, mais au lieu de m'envoyer au tapis, il m'a conduit tout droit à elle. Le responsable de cette blessure fortuite, un collègue flic, est d'ailleurs mon témoin.
Mon père rejette mon choix, pour lui tous les malheurs de l'Amérique sont imputables aux Noirs et elle ne va m'attirer que des ennuis. Ma mère lui est trop soumise pour aller contre sa volonté. Tant pis pour eux, et pour tous ces connards qui me raillent ou me regardent de travers, ils passent à côté d'une femme extraordinaire.
Elle me rend plus responsable, plus confiant aussi. Auprès d'elle, j'apprends même à parler de façon un peu moins vulgaire. Avec son précieux soutien, je commence à travailler dur pour passer l'examen d'officier. Avec cette promotion, je gagnerai plus et on pourra s'offrir une belle maison, fonder une famille comme elle le souhaite. Je réussis deux ans plus tard.

21 juin 1983
Thesera meurt après 5 mois de calvaire. Le jour de l'été, sa saison préférée. Le destin me rappelle cette foutue poisse d'une cruelle manière. Une maladie liée aux poumons, alors qu'aucun de nous deux ne fumait. Je n'ai rien compris au charabia des médecins, juste qu'il n'y avait pas de traitement connu. Qui sait de quoi j'aurais été capable s'il existait une solution à un million de dollars.
Tout n'était pas rose dans notre couple : officier de police et infirmière, à Detroit, ça laisse peu d'horaires en commun pour se voir. Chaque moment était d'autant plus précieux. Alors je décroche totalement, pour la première fois de ma vie. Pire : je sombre dans l'abyme de la dépression. Les congés auxquels j'ai droit ne m'apportent aucun réconfort : je le trouve dans la boisson. Le gros de nos économies est parti dans les frais médicaux et l'enterrement. Le reste a fini en whisky écossais.
Je ne vois plus personne, ne participe plus à la vie communautaire. C'est un zombie qui reprend le boulot, Boyd Desmond sommeille dans un coma étilyque pour rendre la souffrance plus supportable.

25 mars 1984
L'inévitable se produit : je tire sur le type qui ne fallait pas, heureusement sans causer la mort.
S'ensuit un long procès contre la Police de Detroit, une bavure qui nuit à leur réputation et entache mes états de service jadis exemplaires (hormis les fautes d'orthographe qui jonchent mes rapports).
Mes supérieurs décident d'envoyer le mouton noir à Blackwood, avec le grade de Shérif. Visiblement, certains croient encore en moi pour me confier cette responsabilité, je ne dois pas les décevoir.


✩ Falling masks.

PSEUDO/PRÉNOM › Dan'
PRÉSENTATION PERSONNELLE › Fan un brin nostalgique des années 80-début 90 (eh oui, j'y étais). Je raffole des histoires (livres, séries, films… forums RPG !) avec des gens ordinaires confrontés au fantastique et au surnaturel.
FRÉQUENCE DE CONNEXION › Tous les jours
AVATAR › Jake Gyllenhaal
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? › Top-site PRD (page "derniers inscrits")
MOT DE LA FIN › Super contexte, enfin un forum ambiance 80's qui n'est pas un copier/coller de Stranger Things. Et merci pour le prédéfini, j'espère ne pas l'avoir dénaturé en lui ajoutant de la consistance.


Dernière édition par Boyd Desmond le Ven 8 Déc - 10:50, édité 6 fois
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Tess Marini
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Occupation : surveillante au lycée, feignasse en chef, voyante.
Réputation : une bien mauvaise influence pour la jeunesse de blackwood.

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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyJeu 7 Déc - 22:17

Citation :
Mes adjointes périssaient dans l'incendie du poste de police. J'ai un peu honte de l'avouer, mais ça m'a rendu guilleret pour le reste de la journée

J'adore MDR MDR elles vont être contentes, les adjointes. Hey

Belle fiche  Cutie C'est si cool, ces références à l'histoire américaine, à Détroit, aux conflits raciaux.
Je viendrai demander un lien à coup sûr.

Bienvenuuuuue MG
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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyJeu 7 Déc - 22:18

t'as pas de temps à perdre toi. Râle
t'arrives et BIM tu balances tout. Râle
ça m'plaît. Héhé

bienvenue. Choupi
t'es beau. Choupi

j'me mets à la lecture de ta fiche, mais t'as l'air d'envoyer du lourd. Aww
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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyJeu 7 Déc - 22:38

Awai j'avoue que comme ça à chaud, t'es chaud banane Huhu , mais c'est bien qu'une fiche vide quoi Brille

Bienvenue parmi nous le plus beau des shérif Cutie Cutie
Belle fiche en tout cas, j'ai hâte de le voir évoluer Coeur
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Boyd Desmond
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Occupation : Shérif parachuté en sept. 1984, après le décès du patriarche Hewitt. Ex-officier de police à Detroit, sensible aux affaires de racisme et de drogue.
Réputation : Grâce à un travail sérieux, beaucoup de diplomatie et de gros efforts pour s’intégrer, le shérif commence à gagner le respect et la confiance des habitants. Boyd reste néanmoins un étranger de passage qui n’a aucun ami à Blackwood.

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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyVen 8 Déc - 6:53

@Tess : Merci, ce rêve plus humoristique (qui tranche avec l'aspect dramatique du paragraphe précédent) est de bonne guerre si on se base sur les liens du prédéfini Fluu
Le lien sera avec plaisir, Shérif et surveillante au lycée, ce ne devrait pas être difficile (quelques tuyaux sur ces jeunes diables Dent ). Par la suite, la (fausse  Cute ) voyante pourrait soutirer quelques billets au veuf désireux de croire que sa défunte épouse vit à présent dans un monde meilleur…

@Idriss & Mike : Merci à vous deux, en fait je m'inscris toujours avec une fiche complète, je trouve que c'est mieux pour tout le monde. Choupi
Sinon j'aime bien le côté looser plutôt cool du perso, mais capable de virer badass en certaines occasions Fire Jake Gyllenhaal incarne très bien cette dualité Love

Ajout d'un paragraphe pour préciser que Boyd a déjà tué, et évoquer les vétérans de la guerre du Vietnam qui participent à l'ambiance de l'époque.  Ninja
8 février 1974 a écrit:
Je tue un homme pour la première fois. C'était lui ou Jack, un collègue, alors j'ai fait ce qu'il fallait. Du moins, on s'est tous accordés sur cette version, sans doute vraie. Peut-être que le type avait la trouille et n'aurait jamais tiré, on ne le saura jamais.
En tout cas, ceux qui disent que ça vous change à jamais ont raison. C'est impossible à expliquer, un peu comme un arrière-goût désagréable dans la bouche qui refuse de s'en aller. Je n'ose même pas imaginer ce que ressentent les vétérans du Vietnam qui traînent dans nos rues, les yeux hagards.


Dernière édition par Boyd Desmond le Ven 8 Déc - 10:35, édité 1 fois
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Andrea Hewitt
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Bad Cop in Town

Bad Cop in Town
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Occupation : Adjointe du shérif.
Réputation : L'enfant terrible Hewitt, éternelle célibataire, minsanthrope, que l'on soupçonne de préférer les femmes.

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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyVen 8 Déc - 9:46

Woot Woot

Alors, déjà, je suis trop heureuse de voir ce personnage pris, évidemment. Tu l'as parfaitement cerné, et bien au contraire, les PVs sont là pour que les joueurs s'y approprient, ce que tu as fait à merveille. I love you

Citation :
Mes adjointes périssaient dans l'incendie du poste de police. J'ai un peu honte de l'avouer, mais ça m'a rendu guilleret pour le reste de la journée

Là j'ai ri aussi MG (attention tout de même, monsieur le shérif, Andy et Pansy veillent Hm)

Puis l'ensemble de ta fiche est très bien rédigé, complet, un vrai plaisir à lire. Bravo Huhu
Sur Detroit, as-tu le film Detroit (obviously Laughing) de Kathryn Bigelow ? J'ai trouvé plein d'échos entre ta fiche et le film !

Dernière chose, ton pseudo me parle, on a déjà dû se croiser quelque part. Hm Mais bref, je te valide évidemment avec grand plaisir, hâte de partager un RP avec toi Aww
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Boyd Desmond
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Occupation : Shérif parachuté en sept. 1984, après le décès du patriarche Hewitt. Ex-officier de police à Detroit, sensible aux affaires de racisme et de drogue.
Réputation : Grâce à un travail sérieux, beaucoup de diplomatie et de gros efforts pour s’intégrer, le shérif commence à gagner le respect et la confiance des habitants. Boyd reste néanmoins un étranger de passage qui n’a aucun ami à Blackwood.

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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyVen 8 Déc - 10:45

@Andrea : Merci pour cette validation rapide, content que la fiche plaise.

Je n'ai pas encore vu le film Detroit, tu m'as d'ailleurs appris son existence Embarassed Avec Kathryn Bigelow aux commandes, je ne manquerai pas de le regarder quand il sera disponible :)
En fait, j'ai simplement consulté Wikipedia pour me documenter sur Detroit à cette époque, et donc ancrer Boyd dans son contexte. Le reste tient au contenu du prédéfini et à l'imagination ^^

À bientôt en RP !
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Sasha Fletcher
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Crédit : avengedinchains
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Occupation : lycéenne qui dépensait beaucoup d'énergie à rendre son lycée respirable - même si tout le monde semble déterminé à y être misérable. Présidente du conseil des élèves + co-capitaine des cheerleaders.
Réputation : elle était bien trop parfaite, la fille fletcher, s'en était presque écoeurant. sur tous les fronts, de tous les évènements… elle semble récemment avoir décidé de tout envoyer balader (même son petit copain).

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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyVen 8 Déc - 10:51

Même pas eu le temps de te voir arriver que tu es déjà validé! Woot Cette fiche était un vrai plaisir à lire, j'apprécie vraiment la façon dont tu t'es servi du contexte historique et géographique, ça donne d'autant plus d'épaisseur à Boyd. I love you Je signe tout de suite pour voir un film sur la vie de Shérif Desmond, moi. Dent

Bienvenue parmi nous en tout cas Dan, et bon jeu! Coeur
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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) EmptyVen 8 Déc - 17:27

Il est parfait ♥️
Bienvenue :)
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MessageSujet: Re: My life is a mess of shit (Boyd Desmond)   My life is a mess of shit (Boyd Desmond) Empty

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